MISES À JOUR IMPORTANTES : EXPÉDITION ET AUTRES ATTAQUES GOUVERNEMENTALES

Que se passe-t-il à Postes Canada?

Commençons par le transport maritime. Postes Canada et le Syndicat des travailleurs et travailleuses des postes (STTP) mènent des négociations tendues qui, soyons honnêtes, ne se déroulent pas exactement comme sur des roulettes. Bien qu'aucune des deux parties n'ait encore émis le préavis de grève obligatoire de 72 heures (ce qui est une petite victoire), le risque d'une grève plane au-dessus de nos têtes. Si cela se produit, attendez-vous à un ralentissement majeur : Postes Canada suspendra les livraisons et les autres transporteurs maritimes seront débordés au-delà de toute attente.

Si une grève est officiellement annoncée, nous vous en informerons immédiatement en vous proposant des options de livraison alternatives. Mais s'il vous plaît, ne tirez pas sur le messager - sans jeu de mots. Nous n'avons aucun contrôle sur les transporteurs.

L'effet de la taxe d'accise.

Passons maintenant à l'autre mauvaise nouvelle concernant la livraison : les tarifs ont augmenté. Pourquoi ? L'objectif de notre gouvernement fédéral et provincial de rendre tout plus cher dans ce pays fonctionne, et le vapotage ne fait pas exception. La dernière vague de taxes d'accise sur le vapotage est entrée en vigueur le 1er octobre 2024, augmentant les coûts du niveau du fabricant jusqu'à la baisse. Ainsi, pour continuer à offrir la livraison gratuite, nous avons dû ajuster nos minimums de livraison gratuite.

Ces nouveaux minimums varient selon la province et sont désormais en vigueur :

100 $ Livraison gratuite :

• Ontario
• Québec
• Manitoba

120 $ Livraison gratuite :

• Terre-Neuve
• Nouvelle-Écosse
• Nouveau-Brunswick
• Île-du-Prince-Édouard
• Saskatchewan
• Alberta
• Colombie-Britannique

200 $ Livraison gratuite :

• Yukon
• Nunavut
• Territoires du Nord-Ouest

Avant de nous envoyer un e-mail de frustration, vous pourriez peut-être plutôt l’adresser à votre représentant élu.

L'attaque ciblée du gouvernement fédéral se poursuit

Et maintenant, passons à la partie amusante. Attendez, est-ce que j'ai dit amusant ? Je voulais dire incroyablement myope.

Après une altercation avec quelques manifestants, la ministre libérale de la Santé mentale et des dépendances, Ya'ara Saks, a décidé de plier bagage. Plutôt que de s'attaquer aux risques du marché noir, à la hausse de la consommation de tabac ou au droit des gens à des alternatives plus sûres, elle va de l'avant avec l'interdiction des arômes sur les produits de vapotage. Comme elle le dit elle-même : « Je ne pense pas que cela va prendre beaucoup plus de temps. »

Il semble que Ya'ara Saks et Mark Holland soient déterminés à faire avancer leur programme, même si cela nuit à des millions de Canadiens.

Que pouvons-nous faire ?

À ce stade, on a l’impression que le gouvernement libéral va faire ce qu’il veut, peu importe les répercussions sur les Canadiens, sans que personne ne soit surpris, mais nous devons au moins tenter de riposter. Et nous avons besoin de votre aide.

Veuillez contacter votre député local pour lui faire part de vos inquiétudes concernant l’interdiction proposée des arômes. Votre voix compte et vous pouvez faire la différence. Voici quelques points de discussion à prendre en compte lorsque vous communiquez par courrier électronique, sur Instagram, sur Twitter, sur TikTok ou sur tout autre forum public :

• Les détaillants se conforment à des règles strictes pour empêcher l’accès des jeunes. Pour protéger les jeunes Canadiens, il faut des mesures coercitives, et non des interdictions.
  
  
• L’interdiction des arômes forcerait les vapoteurs adultes à revenir au tabac ou au marché noir, ce qui réduirait à néant des années de progrès en matière de réduction des risques.
  
  
• Cette politique va dévaster des milliers de petites entreprises et de familles, ce qui aura des répercussions sur les moyens de subsistance des Canadiens dans tout le pays.

Si cette interdiction de saveurs est adoptée, il nous sera illégal de vendre des parfums autres que ceux à la menthe, au tabac ou sans saveur. Pas de fruits, pas de parfums dont il m'est déjà légalement interdit de parler - rien au-delà des sélections les plus basiques.

Et franchement ? Cela nous ferait fermer du jour au lendemain, licenciant du même coup toute notre équipe. Les seuls gagnants seraient les vendeurs au marché noir, les grandes compagnies de tabac et probablement les poches de quelques élus politiques.

C'est ça. Notre dernière chance.